1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 12:34

André Téchiné, Les roseaux sauvages (1994) : 11/20. Avec Elodie Bouchez et Gaël Morel.

 

L'histoire de l'adolescence. Maïté aime François. François aime Serge. Serge aime Maïté. Alors Maïté se consolera avec Henri. François aussi. Seul Serge reste, avec le mort de son frère, perdu.

 

Une histoire qui utilise la guerre d'Algérie en filigrane. Intéressant, mais parfois lent. Il manque un petit quelque chose au scénario pour vraiment faire grandir le film.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 12:33

Il était une fois la Révolution (1971) : 14/20. Titre original : A fistful of dynamite, Duck, you sucker !, Once upon a time... the Revolution. Avec Rod Steiger et James Coburn.

 

Un film très politique, évoquant à la fois la révolution mexicaine et un peu d'Irlande. Une histoire d'amitié, Juan le bandit et John le spécialiste de la dynamite, ancien membre de l'IRA. Se retrouvant pris dans la révolution mexicaine, ils n'arrivent pas à braquer la banque d’État dont ils rêvent tant. Mais ils deviennent des héros aux yeux des Mexicains.

 

Un peu moins d'humour, un peu plus de drame. Les acteurs ont à la fin du film un air désabusé que l'on va retrouver un peu plus encore dans le dernier film de la trilogie.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 12:33

Jay Roach, Mon beau-père, mes parents, et moi (Meet the Fockers, 2004) : 12. Les suites c’est toujours moins sympa ! Pourtant le casting donne envie (De Niro, Stiller, Dustin Hoffman, Barbara Streisand pour un couple hippie sympa). Un moment de détente en famille mais pas extraordinaire.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 12:33

Sueurs froides (1958) : 16/20. Avec James Stewart et Kim Novak. Titre original : Vertigo.

 

 

Scottie (Stewart), policier, est atteint de vertige. A la suite de la mort d’un de ses collègues dont il se sent coupable, il quitte la police. Un de ses anciens amis du collège le contacte alors pour une affaire privée, suivre sa femme, qu’il prétend être possédée par Carlotta Valdes, morte il y a de nombreuses années. Le scénario est très fort, peut-être bien le meilleur. Le jeu de Kim Novak est en parfaite adéquation avec James Stewart. L’un de mes coups de cœur, assurément. A noter : la première utilisation du travelling compensé (pour illustrer le vertige de Scottie).

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 12:33

Rebecca (1940) : 17/20

 

 

 C’est peut-être mon film préféré d’Hitchcock, malgré le fait qu’il soit un peu tombé en désuétude devant "Psychose" ou "Fenêtre sur cour". Un conte gothique, l’histoire d’une morte, Mrs de Winter, qui reste au centre de la vie de son mari, de sa seconde femme (Rebecca) et surtout de sa dévouée gouvernante. Un film sombre, rempli de crainte, brillamment interprété par Judith Anderson et Laurence Olivier. La scène où Mr de Winter avoue ce qu’il ressentait pour sa femme m’a mis sur les fesses. Oscar du meilleur film (le seul), 11 nominations.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 12:32

Il était une fois dans l'Ouest (1968) : 17,5/20. Once upon a time in the West. Avec Charles Bronson, Henry Fonda, Claudia Cardinale.

Que dire, si ce n'est que ce film résume le western. Déjà la première scène, l'absence de parole, de dialogue, d'échange. Si, des regards. Rien que des regards. Les trois hommes qui attendent l'homme à l'harmonica. Et cet air de musique, magique, éternel. Le début du film donne le ton, le reste suit à la perfection. L'histoire est belle, le scénario rondement construit. Le Cheyenne apporte le côté humour. Le film se déroule notamment du côté de Monument Valley aux formes aisément reconnaissables. La B.O est magique. Un immanquable.

A noter que le film fut d'abord un échec aux Etats-Unis. Il est maintenant classé 20ème de l'Imbd.

La citation du film :

Harmonica : La prime pour la capture de cet homme est de 5000 dollars.

Cheyenne : Un certain Judas a trouvé que 30 dollars, c'était tout à fait suffisant.

Harmonica : Y avait pas de dollars à cette époque-là.

 

Cheyenne : Mais des fils de putes, ça y en avait.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 12:32

Et pour quelques dollars de plus (1965) : 14/20. Titre original : For a few dollars more. Avec Clint Eastwood et Lee Van Cleef.

 

Deux chasseurs de primes sont à la recherche de l'Indien, qui a réussi à s'échapper de prison. Après s'être testés mutuellement, ils décident de le traquer ensemble. Les deux réussissent à s'intégrer à l'équipe de l'Indien pour piller une banque mais se font repérer quand ils tentent de voler l'argent. S'en suivent des duels à n'en plus finir avant le duel final.
Cette scène finale, la première qui marquera les fans de Leone, est rythmée par la petite musique de la montre qui explique le pourquoi de la vengeance de Clint Eastwood. De nombreux flash-back entourent le film, au rythme de la montre.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 12:32

Jay Roach (Austin Powers), Mon beau père et moi(Meet the Parents, 2000) : 14. avec un bon De Niro dans une comédie. Ben Stiller et son côté malchanceux permet un duo efficace, le gentil et le méchant, le malchanceux et l’agent de la CIA.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 12:32

Jason Reitman, (Up) In the air: 3 . J’ai pas fini. Pourtant le réalisateur de Juno m’avait plu pour ce film. Mais celui-ci est très lent et pourtant nominée pour le meilleur film aux Oscar. A n’y rien comprendre. Clooney ne sauve pas le film, dans le rôle d’un gars spécialiste dans l’annonce des licenciements. Cela doit être de l’humour plus ou moins noir. Je n’ai pas vu l’humour.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 12:32

Psychose (1960) : 14/20. Avec Anthony Perkins. Titre original : Psycho.

 

 

Le plus connu, le plus reconnu. Avec l’image de Marion Crane (Janet Leigh) criant dans sa douche. Norman Bates (Perkins), propriétaire du motel où se déroule l’intrigue. Que dire, si ce n’est classique ? Presque obligatoire. Ce n’est pas mon préféré, mais le scénario, le suspense et parfois l’horreur ont fait de ce film le chef d’œuvre du maître. 4 fois nominé aux Oscars.

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