26 octobre 2016 3 26 /10 /octobre /2016 15:29

Ich wollte schon zwanzig Mal einen Artikel auf Deutsch schreiben. Aber ich bin ein bisschen schüchtern, und ich dachte, dass ich noch nicht das Niveau habe. Trotzdem habe ich seit drei Wochen viel Deutsch mit meinen Couchsurfern gesprochen. Und wenn es nicht heute ist, es wird nie sein !

Meine Liebesgeschichte mit der Deutschen Sprache hat nicht sehr gut angefangen. Als ich elf war, habe ich Deutsch das erste Mal im Gymnasium gehört. Es war seltsam (es ist noch seltsam, vielleicht sogar noch mehr!) und lustig. Ich erinnere mich noch an meinen ersten Text. Es war die Geschichte von einem Meerschweinchen (es ist ein sehr wichtiges Wort wenn du in Deutschland wohnst, also haben wir dieses Wort sehr früh gelernt !) : Strubel. Der erste Satz war : « Strubel, Strubel, wo bist du ? ». Ich erinnere mich auch an Jan : « pass auf, die Katze ! ». Heute, wenn ich „pass auf“ sage, denke ich immer an « die Katze! ». Das ist ein bisschen seltsam für die Deutschen mit denen ich rede !

Meine Deutschlehrerin war Madame Roblot. Wir haben eine Schwarzwälder Kirschtorte in der Klasse gemacht, das war auch sehr lustig. Aber eine große Schwäche von mir war, dass ich mein Vokabular nicht lernen wollte ! Meine Mutter hat (viel) versucht, aber ich bin ein bisschen stur. « Warum muss ich Deutsch lernen ? Es ist nicht nötig im Leben ! » (dasselbe dachte ich über Englisch). Also bevorzugte ich Computer spielen anstatt mein Vokabular zu lernen. Ich spielte mit Werder Bremen oder FC Bayern, aber es war nicht wirklich ein Deutschunterricht...

Am Anfang, war ich nicht schlecht. Ich hatte Glück dass ich ein bisschen intelligent war. Aber nach zwei oder drei Jahren, konntest du nicht mehr abschreiben : mein Niveau war nicht mehr gut genug. Seit drei Jahren, haben die anderen ihr Vokabular gelernt, und ich hatte vier Deutsche Meisterschaften gewonnen. Auf jeden Fall bin ich cooler !

Als ich auf das Lycée kam, hatte ich viele Problem dem Unterricht zu folgen. « Was ist hier los ». Entweder war es sehr früh, oder direkt nach dem Essen, in jedem Fall war ich sehr müde (ja, gestern Abend habe ich die Champions League gewonnen, wie cool ist das!). Also schlafe ich ein bisschen im Unterricht oder ich verstecke mich, so dass die Lehrer vergessen dass ich hier bin. Es funktionierte fast immer. Ja, das Schulsystem für Sprachen ist schlecht in Frankreich.

Und dann kommt das Abitur : ich konnte mich nicht verstecken ! Ich hatte ein 5 von 20. Sehr schlechte Note.


Meine Geschichte mit Deutsch ist fertig. So dachte ich. Aber ein Zug und eine Prinzessin später... und ich bin total interessiert an Deutsch ! Ja, die Motivation... Jetzt dachte ich : « wie dumm warst du ! Du hast zwanzig Mal die Deutsche Meiterschaft gewonnen, aber du kannst kein Deutsch sprechen ! »
Aber Überraschung, ich erinnere mich an ein paar Dinge : die Nummern, die Beleidigungen, die Tage. Ich muss nur ein Mal über die Grammatik hören und dann mache ich dasselbe. « Hum, also kannst du sehr viel lernen wenn du schläfst ! ». Sehr viel, nein.

Es wird ein täglicher Kampf sein. Ich werde viel Vokabular schreiben, und, so verrückt wie es klingt, lernen. Alleine. Fast. Ich habe ein paar Tandems, die mir helfen werden. Und Tag für Tag werde ich Fortschritte machen.

Heute bin ich nicht total gut. Nein, ich brauche ein paar Monate mehr für das (ich denke manchmal dass ich nächste Jahr in Deutschland wohnen werde, oder mein Post-Doktorat da mache). Aber ich verstehe das Wichtigste. Ich kann sprechen, viele Dinge erklären, ein paar Geschichten berichten. Wie diese. Und ich bin sehr glücklich. Und stolz. Ich erinnere mich von wo ich komme (sehr weit!). Und heute kann ich über mein Liebesgeschichte mit der Deutschen Sprache schreiben. Wie Toll !



Danke Mitja und Sina

Meine Liebesgeschichte mit der Deutschen Sprache
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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 14:00

Si, si, j'vous jure !

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8 juin 2014 7 08 /06 /juin /2014 21:26

Bon, on ne va pas se le cacher, les photos sont splendides. Alors je vais éviter le grand discours aujourd'hui, régalez-vous !
(bon petite présentation rapide quand même, je vois que vous êtes curieux ! Le Holi Festival a lieu depuis quelques années en Allemagne, dans la plupart des grandes villes. L'idée vient bien sûr de la fête des couleurs en Inde, pour célébrer le printemps. Le coût pour la journée de festival est assez raisonnable (22€) mais il n'y a pas vraiment de tête d'affiche, juste des DJ. L'ambiance entre les lancers (chaque heure) n'était pas extraordinaire, mais à chaque lancer par contre.... une folie !

Holi Festival, Freibourg : un monde en couleur
Holi Festival, Freibourg : un monde en couleur
Holi Festival, Freibourg : un monde en couleur
Holi Festival, Freibourg : un monde en couleur
Holi Festival, Freibourg : un monde en couleur
Holi Festival, Freibourg : un monde en couleur
Pierrot le fou

Pierrot le fou

Holi Festival, Freibourg : un monde en couleur
Holi Festival, Freibourg : un monde en couleur
Holi Festival, Freibourg : un monde en couleur
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8 juin 2014 7 08 /06 /juin /2014 21:25

 

Dans la série repas d'au revoir, vint le tour de mes tandems, ou de mon harem, c'est selon. De gauche à droite : Carmen, Laura, Katrin et Anne. Il manquait Lindsay à l'appel. Une belle équipe, qui m'aura permis de bien pratiquer (et de bien faire progresser) mon allemand. C'était les raisons de mes sorties quotidiennes. Un grand plus que je compte retrouver à Bordeaux (à la recherche des Erasmus).

Mes tandems
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2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 14:06

Dans dix jours, c'est déjà la fin. Le retour en France. La semaine dernière, ce fut donc l'occasion d'un dernier repas de coloc. Oh, non, ce n'était pas régulier. Mais de temps en temps on aimait se réunir sur le balcon, le barbecue fumant, l'allemand résonnant. Au début, j'avais beaucoup de mal. Disons-le clairement, je ne comprenais quasi-rien ! Je souriais, comme l'idiot content que j'étais. Content d'être là, content d'avoir trouvé une coloc, content de comprendre quelques mots, content d'en apprendre d'autres. Maintenant, ça va mieux. Et il faut déjà partir.

De gauche à droite : Mia, Jasmina et Ombeni.
C'est avec le dernier que je m'entendais le mieux. Il m'a accompagné plusieurs fois en ville, je matais le football en sa compagnie. Et puis le son de sa guitare, sa voix au-dessus...ça m'aura bercé quelques après-midi. Ombeni est né en Tanzanie, de parents allemands. Son prénom vient d'ailleurs de là-bas. Il a recommencé les études après avoir travaillé un peu. Du coup, son CV est étonnant : 31 ans, étudiant de licence !
Mia m'a permis la rencontre de son copain, Etienne, français lui aussi. Ca nous aura permis quelques parties de jeux de société bien sympa (Carcassonne, Catane...). Et c'est toujours étonnant de voir un couple dans la même situation que nous : lui français, elle allemande. A la seule différence qu'ils parlent ensemble allemand. Et si le niveau de son copain n'était pas forcément élevé au départ, il a sacrément progressé. Je le jalouse un peu.
Enfin, Jasmina, la sérieuse du groupe. C'est facile, son emploi du temps se résumait à : laboratoire, course, dodo. Et cela tous les jours. Elle a terminé son master cette année, et pense partir pour un doctorat à Munich.

La coloc

La vie était bien entendu très différente de ma dernière coloc, en Erasmus. Beaucoup plus studieuse, beaucoup plus calme. Avec beaucoup moins de viande (les trois sont quasi-végétarien). Au niveau des différences culturelles, c'est de même. D'ailleurs c'était un peu le jour et la nuit avec mon Erasmus. Ici, tout est très carré. Les jours de nettoyage sont définis, rien ne traîne dans la cuisine. Ca m'a changé du dépotoir où je vivais régulièrement à Canterbury ! Et c'est peut-être mieux comme ça. Je dois avoir vieilli (un peu), mais je pense qu'une cuisine comme celle qu'on avait en Angleterre me serait aujourd'hui insupportable !
 

La prochaine présentation de coloc, c'est dans 3 mois !

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30 mai 2014 5 30 /05 /mai /2014 10:49

On continue ce petit tour d'Allemagne 2014 avec l'une des dernières étapes : Heidelberg. Pour s'y rendre, ce n'est pas très compliqué, un bus direct depuis Fribourg, 22€ l'aller-retour. Ça se fait en un peu plus de deux heures.


Arrivé à Heidelberg, drôle de vision : mais je suis de retour à Fribourg ? Des collines entourent la ville, un tram circule et les vélos sont partout ! J'apprends ensuite que les pistes cyclables recouvrent l'ensemble de la ville ! (oui, y'a encore du boulot en France)

Que faire à Heidelberg ? Je commence tout d'abord par une petite randonnée de deux heures, histoire de prendre un peu de hauteur. Je me retrouve notamment en face d'une mini tour de Babel.

Heidelberg : château, internat, et Pignon

Mais je redescends vite pour la visite du centre-ville. Je traverse le vieux-pont, et me voici devant l'une des plus jolies vues de la ville. Au premier plan, le pont, avec le porte de la ville. Derrière, le château d'Heidelberg.
 

Heidelberg : château, internat, et Pignon

Je comprends pourquoi c'est une ville très touristique (j'ai croisé des groupes de Chinois, Japonnais, Indiens, Finlandais...). J'emprunte le chemin des philosophes, grimpant sur la colline opposée. La vue est sympa.
 

Heidelberg : château, internat, et Pignon

Je fais de même avec une autre colline... Bref, vous avez compris le principe : ça monte ! Et cette fois, c'est la découverte du château. C'était l'un des symboles du romantisme européen.
 

Heidelberg : château, internat, et Pignon
Heidelberg : château, internat, et Pignon
Heidelberg : château, internat, et Pignon
Heidelberg : château, internat, et Pignon

Je retrouve ensuite ma Couchsurfing. Bon, là, c'est toute une histoire. Elle s'appelle Rahel. Déjà, ça, c'est bizarre ! Mais aucun rapport avec la secte. Une fille très sympa, avec qui je me pose pour un pic-nique le long de la Neckar. Elle me fait rencontrer ses amis pour un verre, je parle un mélange d'allemand et de français. Et puis, viens le temps de se coucher. Là, je vais chez elle. Elle habite dans un internat. Je ne me méfie pas, mais je trouve ça étrange cette croix sur son bureau. Déjà, le portrait du pape à l'entrée m'avait interpellé ! Et quand je m'endors, une bible est posée à côté de ma tête. Oui, l'internat est catholique. Rien de trop extrême non plus, mais des petits signes qui ne trompent pas ! Ça et le fait de partager le bâtiment avec 47 autres étudiants, une cuisine pour 12. Le petit-déjeuner est d'ailleurs très amusant, puisque nous sommes 5, ayant tous un lien avec l'Afrique. Je me retrouve même en face d'une fille qui part pour le Rwanda en octobre !
 

Heidelberg : château, internat, et Pignon

L'épisode François Pignon du jour
J'achète des cartes postales. Je les écris. Je mets les adresses. J'achète les timbres européens. Je poste les cartes postales. Mes timbres sont toujours dans ma poche.
Ceci est l'épisode François Pignon du jour

L'annecdote
L'Allemagne n'est pas un pays de rugby. Très clairement. Reste qu'Heidelberg est le coeur germanique du ballon ovale : 5 équipes de la ville sont en première division ! En sachant qu'il n'y a que... 8 équipes dans le championnat !

Heidelberg : château, internat, et Pignon
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8 mai 2014 4 08 /05 /mai /2014 11:52
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5 mai 2014 1 05 /05 /mai /2014 17:37

C'était l'un des objectifs de mon année à Fribourg, et j'ai forcément attendu ma sœur pour le réaliser. Elle, la fan des parcs d'attractions, rêvait depuis plusieurs années d'Europa Park (et de ses 11 montagnes russes !). C'est le parc saisonnier le plus visité au monde (4,9 millions en 2013).

Pour y aller, nous fûmes des lève-tôt. Un train et un bus, pour finalement arriver à 8h50. L'ouverture est à 9h, on avance un peu au milieu de la queue. Une caméra de télévision est là, prête à enregistrer l'ouverture des portes. Et là, ce fut une impression de soldes nordistes : ça part en courant ! Direction quoi ? Direction le Silver Star ! C'était les montagnes russes les plus hautes d'Europe de 2002 à 2012, à 73 mètres de haut (battu pour 3 mètres par PortAventura en Espagne!). Comme on ne connaît pas vraiment le Parc, on suit ce beau monde ! Et on arrive devant le monstre !

Europa Park

5 minutes d'attente pour nous, un régal. Et puis la descente... La première est la plus importante (cf. photo suivante), on atteint 127km/h (la chute dure quelques secondes). Vraiment impressionnant. L'attraction fait pas mal de bruit (ils ont quand même dû construire un mur antibruit à côté!). Bref, rien de tel pour se mettre en route !
On enchaîne dans le quartier français. Car oui, Europa Park tire son nom des 13 quartiers européens représentés sur place. Le français est d'ailleurs le plus populaire. Eurosat, une nouvelle montagne russe, totalement dans l'obscurité (ça va être tout noir... ta gueule!)

Europa Park

Le froid du jour nous empêche les attractions nautiques. Dommage, car le quartier grec avait l'air très sympa, notamment avec le Poséidon, cette montagne russe se terminant deux fois dans l'eau, aux décors magnifiques.

Europa Park

Chose étrange, plusieurs attractions du parc sont sponsorisées. Ainsi le Silver Star est en fait le Silver Star Mercedes. Dans la ligne d'attente, vous aurez donc le droit de voir beaucoup de bolides de la marque allemande. Le Blue Fire l'est par Gazprom. Dans la ligne d'attente, vous aurez le droit d'apprendre tous les bienfaits du gaz russe par rapport aux charbons allemands ! Étonnant !

Europa Park

Le Blue Fire justement. Ce sera notre attraction favorite (faite à deux reprises). 4 loopings, dont un géant (cf. photo). Et l'occasion de faire des photos mythiques !

Je vous passe les autres grands huit, l'arène espagnole (avec un spectacle très sympa) ou ma perte de deux euros à un concours de fléchettes ! Bref, n'hésitez pas si vous avez l'occasion, 41€ pour le bonheur d'une journée !

Europa Park
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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 11:37

Cette année, je ne pouvais pas faire une bande ou un bal dunkerquois, pour raison géographique. Mais pas de Dunkerque ne veut pas dire pas de carnaval ! Direction Bâle, en Suisse. D'ailleurs, le réveil de Basel, ça sonne un peu pour moi comme le réveil de Cassel ! Bon, Basler Morgestraich, ça sonne tout de suite moins nordiste. Mais l'idée est finalement assez ressemblante.


Outch ! Réveil matin 2 heures, ce carnaval se mérite ! Je prends mon vélo, accompagné par l'une de mes tandems qui m'a soufflé l'idée. Dans les rues de Fribourg, une agitation assez étonnante pour l'horaire règne. Beaucoup de vélos se côtoient. Et tous prennent la direction de la gare ! Deux trains sont affrétés spécialement pour l'occasion. Et ils sont bondés !
40 minutes plus tard, nous débarquons en Suisse dans une ville blindée de monde ! Il est 3h30 du mat' et je suis sûr que c'est la première fois que je vois autant de monde à cette heure là !

Nous marchons vers la grand place de Bâle, et attendons patiemment 4h, l'heure du départ. Dans les églises, les cloches se mettent à sonner l'heure fatidique. Tout d'un coup, l'ensemble des lumières de la ville s'éteignent et une immense clameur résonne dans la ville. A me faire frissonner.

Les musiciens prennent leurs flûtes,
les lanternes sont allumées,
la partition débute,

les enfants sont enchantés.

 

 

Le défilé est un bonheur pour les yeux. Le plus important, ce sont ces immenses lanternes, portées généralement par quatre personnes. Elles attirent immédiatement le regard. Sur celles-ci, beaucoup de couleurs et des sujets qui varient : les artisans de la ville sont représentés, les villages du coin et beaucoup de sujets politiques : Merkel sous tous les angles, Obama et le scandale de la NSA, j'ai même vu Hollande ! (il devait sans doute y avoir des politiques suisses, mais je maîtrise moins!)Basel Morgestraich (1)Basel Morgestraich (2)Basel Morgestraich (4)Basel Morgestraich (5)
Derrière ces grandes lanternes (souvent par groupe de trois), les musiciens. Ils ont tous le même instrument : une flûte à bec ! Et ils jouent des petits airs sympas. Il n'y a pas de chants ou quoi que ce soit, juste une petite musique de foire. Sur leur tête, ils ont tous une petite lanterne personnalisée par bande. Trêve de grand discours, rien ne parle plus qu'une petite vidéo.


Le public est de tous les âges. Les jeunes, les vieux, les enfants, les travailleurs. Tout Bâle semble être réveillé (bon, faut dire aussi que ça ne doit pas être évident de dormir avec ce boucan d'enfer!). Le défilé est très discontinu. Un groupe passe devant nous, un autre est de l'autre côté de la place, dans le sens opposé. Et puis un groupe tourne à notre gauche, brisant la foule et entraînant quelques bousculades. Attention, rien à voir avec Dunkerque ! Ici, c'est très calme, beaucoup plus familial. Les enfants occupent de bonnes places à l'avant de certains groupes.
Basel Morgestraich (3)
Et à 5h, c'est déjà fini ! Là, ce fut une surprise ! Bon, j'ai l'habitude des bandes de Dunkerque qui durent toute une après-midi (voire même la soirée). Ici, tout le monde repart chez soi, et se prépare pour... aller travailler ! (les Baselois ont tout de même un jour férié à poser pour l'une des trois journées de carnaval) De mon côté, je retraverse la ville, zigzaguant entre quelques flûtistes sans lanterne et quelques lanternes sans flûtiste. Mon train repart à 6h30; à 7h15 je suis de retour à Fribourg. La journée ne fait que débuter.

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27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 13:02

Raison n° 14 : une vue sur les VosgesFribourg-3.JPG
Raison n° 15 : une ville sans la ville Fribourg.JPGVisitons Freibourg. Approuvée par Marie-Eve W., en mode université d'Artois.

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