Si cette photo tombe entre de mauvaises mains, je peux devenir célibataire très vite...
Récit de la soirée d'hier un peu mouvementée, la faute aux filles pour changer....
Au départ que des Espagnoles et des Anglais, une française and Me. Parfait. J'adore les Espagnoles, les gens les plus ouverts et sympas que j'ai rencontré ici pour le moment (oui, je fais une généralité). Puis ensuite quelques français arrivent. Et comme souvent les français(es) sont très lourd....(oui, je fais une généralité). Remarque de merde, quelques "elle je l'aime pas", en français dans le texte pour éviter que l'autre ne comprenne. Bref, j'étais content de les voir partir !
Et puis la demoiselle est arrivée. Comme souvent elle m'a pris la tête pour des conneries. Comme souvent j'ai cru lui dire que ce serait bien d'en finir maintenant. Mais comme souvent je n'ai pas voulu lui briser son petit coeur... Donc j'attendrai jusqu'au vacance. C'est peut-être pire, vous n'avez pas tord... Bref, j'étais content de la voir partir !
En fin de soirée, nous revoici qu'avec des Espagnoles et des Anglais. Les même qu'au début. Et puis une, voir deux, voir trois. Enfin, d'un coup, beaucoup de filles me plaisent dans l'arène. Le contre-coup de la prise de tête doit jouer. Du coup je vais effectivement jouer. Non pas jouer à faire le salaud. Mais jouer avec le feu. Jouer au "danser serrer" que d'ordinaire je ne sais pas faire. Parfois dans ces moments-là on se trouve des qualités que l'on ne pensait pas posséder... Alors la fille que je crois en couple joue également avec moi. Elle veut prendre des photos avec immitation de baiser. C'est tout mignon. Bon j'apprends à mon retour, sur facebook, qu'elle est single... Oups, peut-être qu'elle espérait plus, qui sait... (sorry, j'encense ma vie ^^ mais mon ami ne m'en voudra pas !)
6H15 en France, 5H15 ici, retour at home. Soirée espagnole oblige, on a commencé à minuit. Et puis là, le premier "au revoir". Janire part mardi, je ne suis pas sûr de la revoir avant.... Un avant goût de l'Adieu. Un calin énorme, comme rarement. Ici, c'est un peu ma favorite. Celle que je peux appeler à sa fenêtre en criant son nom, celle qui m'accompagnera si je suis seul pour bouger, même si elle a du boulot. Celle sur qui je sais que je pourrais compter en cas de souci. Celle qui m'a déjà invité chez elle, là-bas, dans le pays Basque. Alors celle qui va me manquer, déjà, lors du prochain mois... Bref, je ne suis pas content de la voir partir...
Erasmus, ce sera ça. Une année de folie qui se finira dans les larmes.