1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:41

Grant Heslov, Les chèvres du Pentagone (2009) : 12/20. Avec George Clooney, Ewan McGregor, Jeff Bridges, Kevin Spacey.

Un grand casting pour une comédie à prendre à troisième degré. Un mélange d'histoire récente des Etats-Unis (guerre en Irak) avec des pouvoirs paranormaux (mais qui se révèle plutôt inutile). L'esprit fait un peu frères Coen (Big Lebowski). On accroche ou pas. Pour moi, c'est pas mal, mais sans plus.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:40

Some Like it hot (1959) : 17/20. Titre français : Certains l’aiment chaud. Avec Marylin Monroe, Tony Curtis et Jack Lemmon.

 

 

Sans aucun doute le film le plus connu du réalisateur, la présence de Marylin Monroe et de son pou pou pi dou l’explique sans doute. Deux musiciens assistent à un règlement de compte dans le Chicago de 1929. Obligés de quitter la ville, ils trouvent un boulot dans une revue où ils sont déguisés en femmes. Ils rencontrent Sugar Kane (Monroe) et vont vivre une tonne d’aventures ensemble. « Well, nobody’s perfect. » est la réplique du film. 6 nominations aux Oscars. 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:40

The Apartment (1960) : 16/20. Titre français : La garçonnière. Avec Jack Lemmon, Shirley MacLaine et Fred MacMurray

 

Bien que positionné en bas de la chaîne, C.C. Baxter (Lemmon) est connu de tous dans son entreprise. La raison ? Trop gentil pour refuser au départ, il est maintenant contraint de laisser son appartement à ses supérieurs afin qu’ils y reçoivent leur maîtresse. Sa vie personnelle s’en retrouve affectée, puis sa vie professionnelle. Surtout quand il tombe fou amoureux de la maîtresse du grand chef.

 

Très bonne comédie, récompensée à juste titre par 10 nominations et 5 titres, dont l’Oscar du meilleur film en 1961

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:40

Gilles Grangier, La cuisine au beurre (1963) : 15/20. Avec Fernandel et Bourvil.

 

 

La rencontre sacrée de deux montres de la comédie. Un Fernandel qui s'est échappé d'un camp de prisonnier allemand pour se retrouver en couple dans le Tyrol pendant plus de dix ans. Sa femme, le croyant mort, s'est remariée avec le brave et bosseur Bourvil. Mais Fernandel revient, tel une star, après avoir raconté sa vie en Sibérie...
Beaucoup d'humour, avec en prime la joie des démarches administratives quand quelqu'un de mort est vivant !

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:40

Gilles Grangier, les vieux de la vieille (1960), dialogue de Jacques Audiard, avec Jean Gabin. Peut-être êtes vous effrayer de regarder des films anciens en noir et blanc et je le comprends, certains ont mal vieilli. Mais justement, les vieux de la vieille ne peut pas vraiment vieillir puisque les vieux n’ont pas changé. L’histoire de trois anciens dans la France profonde qui désespère de voir que les temps ont changé et que les jeunes de maintenant ne sont plus les même, plus assez travailleur, sans respect. Un film très drôle et profondément d’actualité qui aborde une vie que nous rencontrons sans doute un jour.

 

Ces trois vieux, composé par Gabin, Pierre Fresney (Marius, Fanny, César, La Grande Illusion…) et Noël-Noël (connu pour son rôle dans le Père tranquille), sont plein de malices et de tendresses.

 

Note : 17,5/20

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:39

Double Indemnity (1944) : 15/20. Titre français : Assurance sur la mort. Avec Fred MacMurray et Barbara Stanwyck.

 

Un thriller rempli d’amour et de haine. Un assureur est victime d’un coup de foudre. Seul problème, la femme est déjà mariée et la seule solution semble être d’éliminer le mari gênant. Et au passage rafler la mise à l’aide d’une assurance. Bon film bien emmené par MacMurray. Tiré d’une histoire vraie. 7 fois nominé aux Oscars.

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:39

Sunset Boulevard (1950) : 16/20. Titre français : Boulevard du crépuscule. Avec Gloria Swanson et William Holden.

 

 

Magnifique attaque contre Hollywood et une ode aux vedettes du cinéma muet. Humour noir et drame se mélangent. William Holden joue un scénariste malchanceux, qui se retrouve chez Norma Desmond (Gloria Swanson), qui joue un peu son propre rôle. Star du cinéma muet, délaissée, elle enferme littéralement William Holden, tout d’abord bien heureux d’avoir un endroit où dormir. 3 Oscars, dont celui du meilleur scénario. 11 fois nominé. Swanson méritait l’Oscar de la meilleure actrice. 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:39

Gérald Hustache-Mathieu, Poupoupidou (2010) : 13/20. Avec Jean-Paul Rouve et Sophie Quinton.

 

 

Un petit thriller français sans ambition affiché, mais qui peut surprendre dans le style. Le village de Mouthe, connue pour être la région la plus froide de France. Ville de naissance de Candice, star locale, miss météo, affiche du fromage. Celle-ci s'est suicidé. Un sujet intéressant pour l'écrivain policier David Rousseau. Car ce suicide étrange, juste sur la zone frontalière, rappelle une autre histoire, bien plus grande.
Histoire étonnante, utilisation de Marilyn Monroe sans trop en faire. Fin surprenante. Pas mal. Bon rapport qualité prix.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:39

Gilles Balbastre, Les nouveaux chiens de garde (2012) : 14/20.

Bon documentaire de Serge Halimi sur la presse française et ses défauts. Le début m'a paru à charge mais la suite est d'un bon niveau, beaucoup de découverte sur un milieu dans lequel j'ai longtemps pensé évolué.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:38

Bertrand Tavernier, Le juge et l’assassin (1976) : 15. Un film qui n’a rien perdu de sa superbe.

Joseph Bouvier, un ancien sergent d'infanterie réformé en raison de ses crises de violence, abat sa fiancée qui veut le quitter et tente de se suicider. Elle survit et lui aussi, malgré les deux balles qu'il s'est logées dans la tête. Esprit simple et exalté, nourri de slogans anarchistes, il devient vagabond lorsqu'il est libéré de l'asile où son geste l'a mené. Il va alors parcourir les villages en égorgeant et violant bergers ou bergères, entre deux airs d'accordéon. Ces scènes se passent dans la campagne ardèchoise, en 1893.

Un juge de province le suit patiemment à la trace et finit par obtenir son arrestation sur base d'un signalement composé à partir de témoignages. En obtenant la confiance de Bouvier, le juge obtient aussi de lui des aveux complets. Bouvier pense qu'on va le soigner, l'aider à ne plus souffrir, mais le juge ne croit pas à sa folie et fait tout pour obtenir sa condamnation à mort.

Un film sombre et politiquement dérangeant. Philippe Noiret et surtout Michel Galabru sont épatant. La vieille garde est là avec Isabelle Hupert et Jean-Claude Brialy.

Le film est inspiré de faits réels : la cavale sanguinaire de Joseph Vacher qui a tué au moins une vingtaine de personnes à la fin du XIXe siècle.

 

Galabru fut récompensé pour ce rôle par le César du meilleur acteur en 1977, alors qu'il était en concurrence avec Philippe Noiret, qui jouait le personnage du Juge.

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