1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:38

Georges Armitage, Tueurs à gages (1997) : 10,5/20. Avec John Cusack et Minnie Driver.

Soit disant une bonne comédie, mais pas vraiment. Ça hésite entre l'action, la romance et la comédie, ça ne trouve finalement pas grand chose. Un tueur à gage doit retourner dans la ville de son enfance, celle qu'il a quitté il y a 10 ans sans laisser de nouvelle, laissant une fille qu'il aimé et qu'il aime toujours. Seul problème, d'autres tueurs à gage le suivent...

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:38

Georges Lautner, Les tontons flingueurs : 16. Parce que c'est mythique ! Les dialogues d’Audiard font mouches ! Lino Ventura, Bernard Blier, Jean Lefebvre, Francis Blanche sont extra. La scène de la cuisine reste indémodable.

Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît.

Mais moi les dingues, j'les soigne, j'm'en vais lui faire une ordonnance, et une sévère, j'vais lui montrer qui c'est Raoul. Aux quatre coins d'Paris qu'on va l'retrouver, éparpillé par petits bouts façon puzzle... Moi quand on m'en fait trop j'correctionne plus, j'dynamite... j'disperse... et j'ventile...

Patricia, mon petit... Je voudrais pas te paraître vieux jeu ni encore moins grossier. L'homme de la Pampa, parfois rude, reste toujours courtois mais la vérité m'oblige à te le dire : ton Antoine commence à me les briser menu !

J'te disais que cette démarche ne s'imposait pas. Aujourd'hui, les diplomates prendraient plutôt le pas sur les hommes d'action. L'époque serait aux tables rondes et à la détente. Hein ?Qu'est-ce que t'en penses ?
- J'dis pas non.
- Mais dis-donc, on est tout de même pas venu pour beurrer les sandwichs !

 

Touche pas au grisby, salope !

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:37

Bertrand Bonello, L'apollonide, souvenirs de la maison close : 13,5

 

 

Un film osé sur les maisons closes, bourré de scène de nues. Mais un film passionnant sur une époque révolue. Les habitués, les histoires d'amour, les drames. Belles prestations des filles, notamment de la Juive. 8 nominations aux César (une récompense).

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:37

Bertrand Tavernier, Coup de torchon (1981) : 14,5/20. Avec Philippe Noiret et Isabelle Huppert.

En 1938, en Afrique Occidentale, Lucien Cordier, petit policier d'une ville coloniale, est l'objet de toutes les moqueries. On le prend pour un idiot. Mais il se révélera le moins idiot d'entre tous, faisant un vrai ménage dans la ville.
Très bonne interprétation de Philippe Noiret. Beaucoup d'humour sarcastique. 9 fois nominé au César.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:37

The Sting. 12,5/20. Titre français : L’arnaque. Réalisé par George Roy Hill. Avec Robert Redford et Paul Newman. Gagnant en 1974.

 

J’ignore comment ce film a pu remporter l’Oscar, surtout entre les deux années du parrain ! Le film est une arnaque, celle d’un petit bandit qui cherche à venger la mort de son ami. Ils mettent au point une combine avec des faux bookmakers et des courses de chevaux.

J’ai apprécié l’idée de l’arnaque mais le scénario est assez léger, sans grande profondeur selon moi. Mais avec un budget de 5,5 M de $, et un box-office de 160 M de $, il semble que les goûts et les couleurs diffèrent beaucoup d’une personne à l’autre !

10 nominations, 7 récompenses.

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:37

A place in the sun. 13/20. Titre français : Une place au soleil, Réalisé par George Stevens. Avec Elizabeth Taylor et Montgomery Clift. Nominé en 1952(gagnant : Un Américain à Paris).

 

George Eastman (Clift) a la chance d’avoir un oncle à la tête d’une grande industrie, ce qui va lui permettre de sortir de son statut de pauvre. Commençant en bas de l’échelle, il va bientôt gravir les échelons dans l’usine comme dans sa vie sentimentale. Seul problème : sa première liaison avec une employée de l’usine.

Le film est sombre, porté par la performance de Montgomery Clift, ses pensées, ses actes et par la scène finale. Cela peut paraître parfois assez lent, mais cela permet à l’atmosphère de se dégager.  

9 nominations, 6 récompenses.

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:36

Bertrand Blier, Trop belle pour toi (1989) : 17/20. Avec Gérard Depardieu, Josianne Balasko, Carole Bouquet, François Cluzet.

Une histoire d'amour (?) entre un patron de garage et sa secrétaire, trop ordinaire, alors qu'il a une femme, trop belle. Le tout enchanté par la musique de Schubert.

Peut-être qu'il la trouve trop belle (…) enfin j'veux dire trop sublime, trop idéale. A quoi veux-tu rêver quand tu vis avec une telle merveille ? T'as tout. Qu'est-ce qui te reste à espérer ? Rien. Mourir.

 

 

5 Césars dont le meilleur film.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:36

A star is born (1954) : 15,5/20. Titre français : Une étoile est née. Avec Judy Garland et James Mason.

 

Remake du film de Wellman (1937), l’histoire d’un couple du cinéma, d’un haut et d’un bas. Un acteur tout en haut de l’affiche, qui tombe petit à petit dans l’alcoolisme. Et une toute nouvelle actrice qui vole vers les sommets. Un air de The Artist, en mode très dramatique. La vision du monde du cinéma y est très dure.

6 fois nominé aux Oscars.

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:36

Star Wars x 6 : 10 J’avoue avoir eu beaucoup de mal a terminé ce somnifère. Pourtant, Un nouvel espoir m’avait agréablement surpris. J’ai retrouvé des acteurs tel que Harrison Ford, dont j’ignorais la présence dans la première trilogie. Puis l’Empire contre-attaque et le fameux « Je suis ton père ». J’ai retrouvé le palawan du tour d’Europe. Puis le n°6, le retour du Jedi. Bof. Tout est bien qui finit bien, rien de très original. Après quelques années de pause, voici la Menace fantôme, avec notamment Nathalie Portman. Puis l’attaque des clones et la revanche des Siths. Ewan McGregor (Trainspotting, Big Fish) est plutôt pas mal en Obi-Wan Kenobi comme Samuel L. Jackson. Par contre, Hayden Christensen n’est pas vraiment l’Anakin Skywalker que j’imaginais. Donc oui, bof.

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:35

Bernardo Bertolucci, Le dernier empereur (1987) : 12/20.

 

 

Grosse fresque historique du réalisateur italien sur le dernier empereur de Chine, déchu dès son enfance. Sa vie dans la cité interdite, où il est prisonnier. Son éducation occidentale, son choix d'opter pour le Japon afin de redevenir empereur. Il restera marionnette. Le camp de travail, puis sa fin de vie.
Film marquée par quelques longueurs. Un plaisir de revoir le cité interdite.

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