1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:22

François Truffaut, Le dernier métro (1980) : 12,5/20. Avec Catherine Deneuve et Gérard Depardieu

 

 

L'histoire de la famille Steiner, propriétaire d'un théâtre parisien (théâtre Montmartre), dont le mari est juif. Celui-ci serait parti en Amérique du Sud, alors qu'il est dans la cave. Et qu'il participe à la mise en place d'une nouvelle pièce par ses conseils.

Film qui remporte dix césars. Il aborde des thèmes forts (loi contre les juifs, homosexualité). Mais je l'ai trouvé par ennuyeux. Un peu lent dirons nous.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:21

François Dupeyron, La chambre des officiers (2001) : 16/20. Avec Eric Caravaca, Denis Podalydès, Sabine Azéma.

Aux premiers jours de la guerre 1914, Adrien est blessé par une bombe. Totalement défiguré, il se retrouve dans la chambre des officiers. Seul, face à sa blessure. La difficulté à s'accepter, la difficulté de vouloir survivre, le regard des autres... et pourtant le film réussit à nous tirer plusieurs fois des sourires. La scène quand « les bêtes » sortent dans la rue est poignante.
Nommé au César.  

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:21

François Ozon, Dans la maison (2012) : 14,5/20. Avec Fabrice Luchini, Ernst Umhauer et Emmanuelle Seigner.

Un professeur de français déçu par ses élèves est impressionné par la performance de Claude, élève à l'écriture brillante. Surtout le sujet un peu voyeuriste que lui offre son élève lui permet de créer une relation quasi paternel avec celui-ci, et ainsi de réaliser ce qu'il a toujours voulu : écrire un livre.

Film intéressant, avec un bon Luchini dans un rôle qui lui correspond bien. Les propos sur ses rêves d'écrivains m'ont forcément parlé.

 

 

Nominé au César du meilleur film

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:21

Ken Loach, Land and Freedom (1994) : 13,5/20.

A la suite de la mort de son grand-père, sa petite-fille se plonge dans ses souvenirs, consacré à la guerre civile espagnole. David, anglais, se lance dans la guerre pétri de bonne intention, prêt à défendre la république contre le fascisme de Franco. Mais très vite il voit les difficultés de la guerre, la mort, l’absence d’armes, les problèmes de nourritures. Amoureux de Bianca, il la perd finalement à la suite des divisions de plus en plus fortes entre les communistes et les anarchistes du POUM, qui finissent par se battre entre eux, perdant ainsi, selon le réalisateur, la guerre contre Franco.

 

Un film historique très intéressant vis-à-vis de l’engagement militaire ou politique, ainsi qu’une critique un peu dévoilée de l’extrême-gauche, malgré la scène finale.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:21

Ken Loach, Looking for Eric (2009) : 14. De Ken Loach, avec Eric Cantona qui aide un papa perdu (Steve Evets) de Manchester. Bonne surprise. Utilisation de Youtube à gogo.

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:20

The Conversation. 13,5/20. Titre français : Conversation secrète. Réalisé par Francis Ford Coppola. Avec Gene Kackman. Nominé en 1975 (gagnant, Le Parrain, II).

 

Coppola qui place 2 films sur les cinq nominés cette année-là, la grande classe. Mais bon, il n’y a pas photo entre les deux ! The Conversation est un film assez lent, portant uniquement sur la personne de Harry Caul, engagé pour écouter une conversation. Seul problème, celle-ci est codée. Le personnage est sombre, un peu perdu, toujours effrayé à l'idée qu’il puisse être suivi ou écouté, quasiment parano (notamment lorsqu’il détruit l’ensemble de sa maison). La fin du film est cependant un beau chef d’œuvre.

3 nominations (Palme d’or à Cannes).

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:20

Ken Loach, Just a Kiss 16/20

L’amour plus fort que tout ? L’amour plus fort que la religion ? La famille ? La couleur de peau ?

 

L’histoire se déroule à Glasgow, où Casim, jeune originaire de la communauté pakistanaise, tombe amoureux de Roisin, professeur dans un lycée catholique. S’en suit beaucoup de difficulté, notamment en raison du mariage arrangé de Casim. Un film plutôt bien réalisé, bon scénario, césar du meilleur film de l’union européenne en 2005.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:19

F. Gary Gray, Braquage à l’italienne (2003) : 11.Avec Edward Norton, sans plus ! Pas de réelle surprise et un scénario qui manque de consistance.

 

Charlie Croker (Mark Wahlberg, Les infiltrés) et son équipe préparent un casse parfait à Venise. Tout se passe comme prévu mais c'est sans compter la présence d'un traitre parmi eux. Steve (Norton) va leur dérober les lingots et tuer le doyen du groupe John Bridger, spécialiste des coffres forts qui était un père pour tous. Après être passés pour morts pendant de longs mois, ils vont retrouver la piste de Steve en Californie... Avec également Charlize Theron et Jason Statham (Snatch, Arnaque, crimes et botanique).

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:19

Fernando Meirelles, The Constant Gardener (2005) : 15/20. Avec Ralph Fiennes et Rachel Weisz.

 

Un diplomate et sa femme sont au Kenya. Celle-ci est assassinée alors qu'elle était en déplacement. Certains disent que c'est son amant... Le diplomate se renseigne, et va découvrir enfin sur quoi sa femme travaillait.
Le sujet des labo pharmaceutiques utilisant des africains pour réaliser leur expérience est... vrai (trovafloxacine par le labo Pfizer (viagra), au Nigéria...)

 

 

Ralph Fiennes que l'on retrouve dans Le patient anglais, La liste de Schindler, Quiz show, Bons baisers de Bruges, Harry Potter...

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:19

Ken Annackin, Le jour le plus long (1962) : 18/20.

Pour moi l’un des meilleurs films sur le débarquement, sa préparation et sa réalisation.

Porté par les meilleurs acteurs de l’époque (Richard Burton, Sean Connery, Henry Fonda, John Wayne, Arletty, Bourvil…) et par plusieurs réalisateurs (chacun s’occupant d’une partie (américaine, anglaise, allemande…), le film vaut plus que deux heures d’un livre sur le sujet.

 

Entre peur et espoir, entre les messages de Radio-Londres et les croyances allemandes, il retrace l’un des évènements majeur du 20ème siècle.

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