1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:09

Detlev Buck, Same, Same but different (2009) : 13/20.

Benjamin, étudiant allemand, part au Cambodge, un sac sur le dos. Il fait la rencontre de Sreykeo, jeune prostituée dont il tombe amoureux. Mais le SIDA s'en mèle, en plus de différences culturelles criantes.
Un film réalisé avec peu de moyen, mais qui tombe dans le vrai. Beaucoup de situation que j'ai reconnu du voyage, beaucoup de comportement et de discours.  

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:09

Disney, La princesse et la grenouille (2009) : 15. Disney, Tiana, princesse métissé en Louisiane, sur fond de racisme, belle image et bon divertissement. La B.O est de qualité.

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:07

Dennis Gansel, La vague (2008) : 18. Une claque ! Un film allemand de qualité sur le sujet d’un régime totalitaire en Allemagne. Un professeur propose une expérience à ses élèves, sûrs que cela ne peut plus arriver dans leur pays. L’expérience prouve le contraire. Jürgen Vogel est excellent dans le professeur qui s’est pris au jeu. Film qui fait réfléchir.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:07

Denys de La Patellière, Un taxi pour Tobrouk (1960) : 14,5.

Lors de la Seconde Guerre mondiale, un commando de FFL de quatre hommes se perd dans le désert du Sahara en Libye après une mission sur Tobrouk. Leur Chevrolet du LRDG détruit par une attaque aérienne, ils s'emparent d'un véhicule allemand et capturent son officier pour rallier El-Alamein avant d'être découverts. L'officier allemand tentera de leur faire regagner El-Alamein ; la situation fera tomber les barrières entre les hommes.

Mis à part les dialogues de Michel Audiard, ce film démontre surtout l'apparente absurdité des situations qui se créent pendant une guerre, et que celle-ci ne règle pas. L'antimilitarisme du film est son fil conducteur, et les échanges entre les officiers et les hommes du rang, entre les Français et l'Allemand, sont empreints finalement d'une sorte de camaraderie qui les met tous égaux face à la guerre et ses ravages.

Lino Ventura et Charles Aznavour sont entourés de trois seconds rôles aussi bons acteurs (dont Maurice Biraud). Savoir qui va finalement l'emporter, de l'Allemand ou des Français, reste toujours aussi délicieux à voir : ce huis-clos en plein désert sera vraiment une révélation pour ces hommes.

Citations :

Je crois, docteur, que l'homme de Néanderthal est en train de nous le mettre dans l'os. Deux intellectuels assis vont moins loin qu'une brute qui marche.

Dans le désert tu trouves un macchabée en gorge que tu ne peux pas identifier : on lui fouille les poches. Quand on trouve un ouvre-boîte, c'est un British, et quand c'est un tire-bouchon, c'est un Français.

C'est mon papa, moi, que je vais retrouver. Actuellement, il est à Vichy mon cher père. Ah ! c'est un homme qui a la légalité dans le sang. Si les Chinois débarquaient, il se ferait mandarin. Si les nègres prenaient le pouvoir, il se mettrait un os dans le nez. Si les Grecs... oui enfin, passons !

Mon cher Ludwig, vous connaissez mal les français. Nous avons le complexe de la liberté, ça date de 89. Nous avons égorgé la moitié de l'Europe au nom de ce principe. Depuis que Napoléon a écrasé la Pologne, nous ne supportons pas que quiconque le fasse à notre place. Nous aurions l'impression d'être frustrés.

À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:06

Delbert Mann, Marty (1955) : 14/20.

 

Un Oscar qui dure 1h30 et qui traîte d'une histoire finalement si simple. Un homme de 34 ans, Marty, d'origine italienne, se fait tiré les oreilles par sa mère car il n'est pas encore marié. Elle le pousse à sortir. Celui-ci, complexé par son physique, n'ose pas. Il rencontre finalement Clara, qu'il ramène chez lui. Alors que tous le monde le poussait à rencontrer une fille, voilà que tout le monde lui trouve des défauts ! Mais il passe outre et rappelle la demoiselle.

 

Ernest Borgnine remporte l'oscar du meilleur acteur. Également Palme d'Or à Cannes.


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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:06

Dennis Dugan, Jack et Julie (2012) : 0/20. Avec Adam Sandlers, Katie Holmes.

Oui, mon premier zéro, mais il est mérité. Atroce, mais vraiment atroce. La voix française de Julie est pire que dans Capote. Johnny Depp et Al Pacino sont dans ce film, j'ignore pourquoi.
10 fois nominé au Razzie Awards, 10 fois récompensés.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:05

David O. Russell, Happiness Therapy (titre original Silver Lining Playbook) (2012) : 13,5/20. Avec Bradley Cooper, Jennifer Lawrence, Robert de Niro.

Deux fous. Enfin, en quelque sorte. Pat a perdu sa petite amie, sa maison et son job après un « incident », qui la envoyé en maison psychiatrique pendant 8 mois. A son retour, il se lie d'amitié avec Tiffany, ancienne névrosé sexuelle après avoir perdu son mari, qui lui propose de reprendre le contact avec sa femme.

Film qui tangue entre le drame, la comédie et la romance. Des bons passages, d'autres moins. J'aime particulièrement le début et les passages où Bradley Cooper fait un peu fou.
8 fois nominé aux Oscars.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:05

David Zucker, Y a-t-il un flic pour sauver la reine ? (1988) : 15/20. Avec Leslie Nielsen et Priscilla Presley.

Un agent foireux réussit par hasard tout ce qu'il entreprend. L'interprétation de Leslie Nielsen est fantastique et ce film à gag est plutôt réussi. On aime ou on n'aime pas. Je suis dans le premier groupe.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:04

David Lean, Lawrence d'Arabie (1962) : 13/20. Avec Peter O'Toole, Omar Sharif et Alec Guiness.

L'histoire un peu romancé de l'espion anglais T.E. Lawrence dans son rôle lors des révolutions arabes lors de la seconde guerre mondiale. Le film est parfois un peu lent, manquant d'action. Pas le meilleur David Lean mais le plus connu.
7 oscars pour 10 nominations.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 17:04

Un film mythique, je ne trouve pas d'autres mots : Le Pont de la rivière Kwaï et sa musique inoubliable.

 

6 oscars, meilleur film, meilleur acteur (Alec Guiness, que l'on retrouve non pas dans un verre mais dans Star Wars, Obi-Wan Kenobi), meilleur scénario adapté... et classé 13ème plus grand film de l'histoire par l'American Film Institute. J'ai même ressenti une certaine pression à plusieurs moments du film. L'histoire se déroule en Thaïlande dans un camp de prisonniers britanniques tenu par l'armée japonaise. Ceux-ci ont pour ordre de construire un pont afin qu'un important train puisse traverser la rivière Kwaï.
Ce n'est pas vraiment un film de guerre, plutôt un film dans le contexte de la guerre, surtout un film d'action, d'honneur, de sacrifice. Américain quoi.

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