1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:22

Claude Nuridsany, Marie Pérennou, Microcosmos : le peuple de l'herbe (1996). Avec des animaux et des végétaux.

Documentaire sur la nature, ce film présente pour son époque une qualité d'image extraordinaire. (les caméras macro ont été créées pour l'occasion). Difficile de noter, forcément. Mais de belles images et on sort du film souriant, en se disant que la nature est belle en plus d'être inconnue.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:21

Claude Miller, Garde à vue (1981) : 16/20. Avec Michel Serrault, Lino Ventura, Guy Marchand et Romy Schneider.

Une petite claque. La garde à vue du notaire Martinaud le 31 décembre au soir, par l'inspecteur Gallien. Il est soupçonné d'avoir violé deux fillettes. S'en suit un drame dans une seule pièce.
Le scénario est saisissant, le jeu des acteurs vaut le coup d'oeil. Un grand film, justement récompensé par huit nominations (et 4 victoires dont le meilleur scénario et le meilleur acteur pour Serrault).
Dialogue par Michel Audiard.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:21

Claude Chabrol, La cérémonie (1995) : 13/20. Avec Sandrine Bonnaire, Isabelle Hupert et Audrey Tautou.

Inspiré par le fait divers des sœurs Papin. Sophie est engagée par une famille comme bonne à tout faire. Tout se déroule bien jusqu'à sa rencontre avec la postière Jeanne, qui hait la famille Leroux. Elle finit par retourner complètement Sophie qui craque lorsque la jeune fille de la famille apprend qu'elle est analphabète. La suite est sanglante.

Le jeu froid de Bonnaire est complètement en opposition avec l'excitation d'Hupert, très bien ancrée dans son rôle.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:20

Claude Autant-Lara, La traversée de Paris (1956) : 14/20. Avec Jean Gabin, Bourvil, Louis de Funès.

 

Marcel Martin, ex-chauffeur de taxi, survit plutôt bien sous l'Occupation grâce au marché noir. Cette fois, c'est un cochon qu'il doit transporté dans tout Paris. Mais son coéquipier habituel s'est fait pincé. Il entraîne Grandgil, effrayé que celui-ci ne voit sa femme le soir même.
Cependant, ce même Grandgil a des façons tout à fait différente de faire.

Des répliques cultes, une trio d'acteurs français mythique et pourtant un sujet grave. A voir ou à revoir.

« Salauds de pauvre ! »

 

 

« Monsieur Jambier, 45 rue Poliveau, pour moi, ce sera 1000 F… Monsieur Jambier, 45 rue Poliveau, maintenant c'est 2000 F… Je voulais dire 3000. »

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:19

Christopher Nolan, Batman, The Dark Knight (2008) : 13.

Un film d’action, certes, avec de bons acteurs (dernière performance d’Heath Ledger dans le rôle du Joker, récompensé d’un oscar du meilleur second rôle posthume).

 

L’histoire, la suite de Batman Begins, est sympa. Nolan, réalisateur de Memento ou d’Inception, est très bon dans les films d’actions. Mais je reste un peu déçu du scénario, un peu sans surprise.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:19

Christopher Nolan, Memento (2000) : 18.

Guy Pearce (L.A. Confidential, Démineurs, Le discours d’un roi) est très bon dans le rôle de Léonard Shelby, qui recherche le meurtrier de sa femme.

Ce film fonctionne à l’envers, par séquence de 15 minutes. Dans le même temps des séquences en noir et blanc, à l’endroit, permettent de suivre le fil du film.

 

Magnifique.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:18

Christopher Nolan, Inception (2010) : 14.

 

Le héros est Dom Cobb (Léonardo Di Caprio), un « extracteur », qui entre dans les rêves des autres pour soutirer des informations autrement inaccessibles. Ses capacités, pour lesquelles il est sollicité à des fins d'espionnage industriel, lui ont coûté sa famille et l'ont obligé à s'exiler, mais une chance de rédemption lui est offerte s'il décide avec son équipe d'experts de pratiquer une « inception », c'est-à-dire d'implanter une idée dans le subconscient d'un sujet. L'inception est moins familière, plus difficile et dangereuse que l'activité habituelle d'« extraction ».

 

Marion Cotillard joue la femme de Di Caprio.

 

Le film est un peu compliqué, et aurait nécessité un peu plus de temps. Le scénario est plutôt bon. Musique de Hans Zimmer.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:17

Christian de Chalonge, L'argent des autres (1978) : 12/20. Avec Jean-Lous Trintignant, Catherine Deneuve, Claude Brasseur et Michel Serrault.

Un film qui m'a laissé une drôle d'impression. L'atmosphère y est étrange, parfois un peu glauque. Le scénario hésite entre le drame, sombre, et le film d'enquête. La fin est bizarre.
Oui, drôle de film, qui pourrait être dans l'ère du temps.
Fin des années 1970, la crise (déjà), Henri Rainier est licencier de sa banque. Il est le bouc émissaire d'une sombre histoire de prêt à un grand magnat ayant fait faillite, le tout alors que le banque semble avoir fait disparaître plusieurs milliards de francs. Un bon Trintignant.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:17

Christopher Nolan, Batman, The Dark Knight Rises (2012) : 13/20. Avec Christopher Bale, Morgan Freeman et Marion Cottilard.

Un film d'action à la Batman avec quelques incongruités. A la retraite, le Bat déprime toujours à la suite de la mort de sa chère et tendre dans l'épisode précédent. Alors que la paix semble régné à Gotham, les souterrains abritent une prochaine révolution.
Sympa, mais une préférence pour l'épisode précédent.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:16

Modern Time (1936) : 16/20. Titre français : Les temps modernes.

 

Le dernier muet de Chaplin, le plus connu, celui qui met fin à la carrière cinématographique du personnage de Charlot. D’entrée, la première scène me fascine. On y voit des moutons allant tous dans la même direction puis d’un coup des humains sortant du métro à la même vitesse. Le film dénonce en partie l’esclavage moderne, la vie dans les usines, sur les chaînes de production. La période est celle de la Grande Dépression, d’un chômage de masse, le film est politiquement incorrect. Une satire mais aussi un drame d’époque.

C’est la première fois que l’on entend la voix de Charlot, lorsqu’il se met à chanter la chanson sans sens, un mélange de français et d’italien. Chanson qui est d’ailleurs revenue dans les charts au début des années 2000 (avec un remix).

 

A noter le journal « Les Temps Modernes » de Sartre, de Beauvoir et Merlau-Ponty en hommage au film.

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