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Jean Becker, Deux Jours à tuer, dont j’ai déjà fait l’éloge une fois et que j’ai revu. Le visionnage fut très différent et peut-être un peu plus intense, un peu plus bouleversant. Un film qui m’a touché à deux reprises.
Albert Dupontel remet complètement en question sa vie. Il pète un câble tout en suscitant de vraies interrogations sur le sens de la vie. Un chef d’œuvre.
Note : 19/20
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Jean Becker, Les enfants du marais (1999) : 14,5/20. Avec Jacques Villeret, Jacques Gamblin, André Dussollier, Michel Serrault et Isabelle Carré.
Riton vit dans le marais avec sa femme et ses enfants, mais Pamela l'abandonne. Il ne s'en remet pas et noie son chagrin dans le vin. Garris, démobilisé de la guerre, se retrouve dans le marais par hasard, et seule une femme pourra l'en sortir. Quand à Pépé la rainette, il a quitté le marais pour réussir une grande carrière mais souhaiterait tellement y être resté. Avec Amédée, ils forment une fine équipe de copains.
Beau film sur l'amitié, le sens de la vie et l'importance de vivre dans un environnement qui vous plaît. Question personnelle : est-ce vivre dans une ville me rendra heureux ?
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Il était une fois l'Amérique (1984) : 13/20.Titre original : Once upon a time in America. Avec Robert de Niro et James Wood.
C'en est fini du western spaghetti. L'époque a évolué, nous sommes dans les années 1920, au moment de la prohibition. De Niro replonge dans ses souvenirs, ses amitiés d'enfance, sa relation d'amour manquée, l'argent disparu de ses compagnons morts trop tôt. Le film est sombre, l'acteur n'a plus d'espoir. L'oeuvre m'a paru un peu longue par moments. C'est le dernier film de Leone, son testament, 13 ans après sa dernière production. Ennio Morricone est là, comme toujours.
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André Téchiné, Les roseaux sauvages (1994) : 11/20. Avec Elodie Bouchez et Gaël Morel.
L'histoire de l'adolescence. Maïté aime François. François aime Serge. Serge aime Maïté. Alors Maïté se consolera avec Henri. François aussi. Seul Serge reste, avec le mort de son frère, perdu.
Une histoire qui utilise la guerre d'Algérie en filigrane. Intéressant, mais parfois lent. Il manque un petit quelque chose au scénario pour vraiment faire grandir le film.
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Le bon, la brute et le truand (1966) : 16/20. Titre original : The Good, the Bad and the Ugly. Avec Clint Eastwood et Lee Van Cleef.
Très clairement le meilleur film de la trilogie du dollar. Tout d'abord parce qu'il y a beaucoup d'humour. Eli Wallach dans le rôle de Tuco est fantastique. Ensuite, l'Histoire entre dans l'histoire, avec la guerre de Sécession. Enfin, parce que chacun des protagonistes se retrouve confronté à la mort à un moment du film. Et la scène finale, quelle scène finale ! A trois, avec les regards qui vont vers la gauche, puis vers la droite, tout cela entraîné par la musique d'Ennio Morricone...
Et la citation du film : « Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses. »
A noter que l'ensemble de ces films est tourné en Espagne, du côté d'Alméria, alors en pleine période franquiste.
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Jay Roach, Mon beau-père, mes parents, et moi (Meet the Fockers, 2004) : 12. Les suites c’est toujours moins sympa ! Pourtant le casting donne envie (De Niro, Stiller, Dustin Hoffman, Barbara Streisand pour un couple hippie sympa). Un moment de détente en famille mais pas extraordinaire.
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Il était une fois la Révolution (1971) : 14/20. Titre original : A fistful of dynamite, Duck, you sucker !, Once upon a time... the Revolution. Avec Rod Steiger et James Coburn.
Un film très politique, évoquant à la fois la révolution mexicaine et un peu d'Irlande. Une histoire d'amitié, Juan le bandit et John le spécialiste de la dynamite, ancien membre de l'IRA. Se retrouvant pris dans la révolution mexicaine, ils n'arrivent pas à braquer la banque d’État dont ils rêvent tant. Mais ils deviennent des héros aux yeux des Mexicains.
Un peu moins d'humour, un peu plus de drame. Les acteurs ont à la fin du film un air désabusé que l'on va retrouver un peu plus encore dans le dernier film de la trilogie.
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Rebecca (1940) : 17/20
C’est peut-être mon film préféré d’Hitchcock, malgré le fait qu’il soit un peu tombé en désuétude devant "Psychose" ou "Fenêtre sur cour". Un conte gothique, l’histoire d’une morte, Mrs de Winter, qui reste au centre de la vie de son mari, de sa seconde femme (Rebecca) et surtout de sa dévouée gouvernante. Un film sombre, rempli de crainte, brillamment interprété par Judith Anderson et Laurence Olivier. La scène où Mr de Winter avoue ce qu’il ressentait pour sa femme m’a mis sur les fesses. Oscar du meilleur film (le seul), 11 nominations.
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Sueurs froides (1958) : 16/20. Avec James Stewart et Kim Novak. Titre original : Vertigo.
Scottie (Stewart), policier, est atteint de vertige. A la suite de la mort d’un de ses collègues dont il se sent coupable, il quitte la police. Un de ses anciens amis du collège le contacte alors pour une affaire privée, suivre sa femme, qu’il prétend être possédée par Carlotta Valdes, morte il y a de nombreuses années. Le scénario est très fort, peut-être bien le meilleur. Le jeu de Kim Novak est en parfaite adéquation avec James Stewart. L’un de mes coups de cœur, assurément. A noter : la première utilisation du travelling compensé (pour illustrer le vertige de Scottie).
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1 mai 2004
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Jason Reitman, (Up) In the air: 3 . J’ai pas fini. Pourtant le réalisateur de Juno m’avait plu pour ce film. Mais celui-ci est très lent et pourtant nominée pour le meilleur film aux Oscar. A n’y rien comprendre. Clooney ne sauve pas le film, dans le rôle d’un gars spécialiste dans l’annonce des licenciements. Cela doit être de l’humour plus ou moins noir. Je n’ai pas vu l’humour.
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