1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 18:57

Shooting Dogs : J'ai regardé pour ma présentation. Autant vous dire que le sujet, le génocide rwandais, n'est pas très gai. Ce film est dans l'étroite ligné. Il raconte l'épisode de l'abandon d'une école par des soldats belges alors que celle-ci protégait des civils. 2000 morts. A éviter pour les suicidaires...15/20

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 18:56

Michael Apted, Le monde ne suffit pas (1999) : 12,5/20. Avec Pierce Brosnan et Sophie Marceau.

Une histoire de pétrole, de terroriste, de plutonium, le tout en Azerbaïdjan. Un scénario pas trop mal, l'action est également là, mais j'ai l'impression que je commence un peu à me lasser de l'action avec des retournements de situation toutes les quinze minutes.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 18:56

Michael Anderson, Le tour du monde en 80 jours (1956) : 9/20. Avec David Niven et Cantinflas.

Grosse déception pour l'oscar du meilleur film ! Phileas Fogg, une histoire que j'apprécie pourtant. Mais la réalisation est décevante, les acteurs étant emmenaient en ballon, en Espagne... (alors que ce n'est pas le cas du livre). Beaucoup de clichés sur l'Europe. Le rythme est parfois lent. Dommage.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 18:55

Mel Smith, Bean (1997) : 14/20. Avec Rowan Atkinson.

 

Un film sur ce personnage mythique, sorte de Charlot des temps modernes. Une histoire de peinture, la fameuse Mère de Whistler, que Bean va décrire aux Etats-Unis, étant envoyé par la National Gallery de Londres (qui s'en débarrasse ainsi!). De l'humour Bean, parfois tordant, même si j'en avais parfois honte (c'est pas beau de se moquer!)

 

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 18:54

Maurice Pialat, A nos amours (1983) : 11/20. Avec Sandrine Bonnaire, Maurice Pialat, Dominique Besnehard.

Suzanne, quinze ans, découvre les joies et les peines de la vie. De déception amoureuse à sexe facile, il y a un pas qu'elle franchit très (trop) rapidement. Le départ de son père la bouleverse et rompt un équilibre familial fragile. Un drame de la vie. Pialat est convaincant, Bonnaire un peu moins selon moi. Le scénario reste limité.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 18:54

Matthew Vaughn (Layer Cake), Kick Ass (2010) : 15/20.

 

J’ai apprécié cette comédie américaine provenant d’un comic. Aaron Johnson (L’illusionniste), Chloë Moretz (500 jours ensemble) et bien sûr Nicolas Cage. L’histoire paraît un peu folle mais c’est rythmé, beaucoup d’action.  

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 18:53

Mathieu Amalric, Tournée (2010) : 11/20. Avec Mathieu Amalric.

L'histoire d'une bande de danseuses de cabaret américaine en tournée en France, emmenées par leur producteur français, détesté par le tout-Paris. Celui-ci rentre en France et tente également de régler ses problèmes familiales et professionnelles.
Un road-movie un peu décevant au niveau du scénario, franchement léger.
Nominé 7 fois aux Césars.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 18:53

Massy Tadjedin, Last Night (2010) : 14,5/20. Avec Keira Knightley, Sam Worthington, Eva Mendes et Guillaume Canet.

Deux trentenaires New Yorkais mariés depuis 3 ans. Ils se sont rencontrés à l'université. Au cours d'un dîner, Joanna se rend bien compte que son mari n'est pas insensible au charme d'une autre femme. Après l'explication, celui-ci se rend le lendemain en voyage d'affaire avec celle-ci. Joanna, elle, se retrouve confronté à son passé avec des retrouvailles avec son ex-copain, venu tout droit de Paris.

Un film intéressant sur la vision du couple, sur l'amour, la définition de fidélité, la passion, le sexe. L'ambiance est souvent pesante, avec des êtres déchirés entre leur envie et leur morale.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 18:52

Mary Harron, American Psycho (2000) : 15/20. Avec Christian Bale.

Christian Bale porte un film au scénario plutôt limité, sans grande nouveauté, si ce n'est de mettre au centre des attentions un psychopathes, et rien d'autres. La performance de l'acteur est remarquable.
Patrick Bateman, golden boy de Wall Street, a une passion dans la vie : tuer des gens. Et les cartes de visite aussi. Bonne B.O.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 18:51

Shutter Island : 18. C’est froid, c’est psychologique, ça fait peur, c’est du Scorsese et c’est Di Caprio, qui sur l’île de Shutter Island vient chercher la preuve d’une prison sans droit ni loi, où des expériences se tiennent sur des prisonniers. Une fin à suspense. Très bon.

 

 

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