1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:16

Citylight (1931) : 16/20. Titre français : Les lumières de la ville.

 

Un film extrêmement touchant de Charlot, venant en aide à une jeune aveugle et à un mari déçu. C’est l’un de mes favoris, avec la scène du sifflet, ou du combat de boxe.

Les films muets avaient disparu en 1929, mais Chaplin choisit de résister encore et toujours à l’envahisseur parlant. A noter que la scène où l’aveugle comprend que Charlot est riche a nécessité 342 prises de vue ! Un record.

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:15

The Kid (1921), avec Jackie Coogan : 15/20. Titre français : Le Kid.

 

Comédie dramatique qui met en scène une mère désespérée, abandonnant son fils. Celui-ci se retrouve un peu par hasard dans les mains de Charlot qui, après avoir un temps voulu l’abandonner à son tour, en prend la charge.

Le Kid est l’un des « must » de Chaplin. Comédie dramatique, elle annonce d’entrée que vous pourrez rire, et peut-être même verser une petite larme. Chaplin avait perdu son enfant l’année précédente. La pauvreté des acteurs rappelle sans doute l’enfance de l’acteur dans les rues de Londres. La scène de la bagarre du fils est hilarante. La photo est mythique.

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:15

Limelight (1952), 16/20. Titre français : Les feux de la rampe.

 

Le dernier film américain de Chaplin. Calvero, ancienne icône du music-hall, devenu has been, tente d’aider une danseuse de ballet qui a voulu mettre fin à ses jours. C’est l’un de mes films préférés de Chaplin, touchant, émouvant, qui peut paraître autobiographique. L’apparition de Buster Keaton, l’autre star du muet, rend hommage à une période révolue. On pourrait établir quelques parallèles avec "The Artist".

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:14

The Great Dictator (1940) : 14/20. Titre français : Le dictateur.

 

Forcément. Le classique parmi les classiques. Adenoid Hynkel, dictateur de Tomanie (satire d’Adolf Hitler) et Benzino Napaloni, dictateur de Bactérie (Mussolini) se rencontrent et tentent de s’impressionner (la scène avec les chaises qui montent, montent, montent…). Dans le même temps, un barbier juif sortant d’un an d’hôpital, sosie parfait d’Hynkel, tente de comprendre ce qui se passe dans le monde.

Dénonciation du régime nazi, de la politique à l’égard des juifs, "Le dictateur" précède l’entrée en guerre des Etats-Unis. Le film contribue à mobiliser l’opinion publique américaine sur ce qui se passe en Europe. La scène des saluts entre les deux dictateurs est tordante. Les discours d’Hynkel, hurlant, vociférant, dans un langage qui se veut proche phonétiquement de l’allemand ont fait grand plaisir à ma partenaire (non, l’allemand ne ressemble pas à ça ? si, si, je te promets !). Nommé à l’Oscar du meilleur film. Le film est sorti en Allemagne en 1958 (et en 1975 en Espagne !).

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:13

The Circus (1928) : 16,5/20. Titre français : Le cirque.

 

C’est un peu par hasard que je me suis retrouvé devant "Le cirque", projeté dans un bus en plein milieu de la Chine. Charlot, poursuivi par un policier, se réfugie dans un cirque. Il déclenche l’hilarité en perturbant les numéros et finit par se retrouver embauché.

Les scènes dans le cirque sont franchement désopilantes. Ce fut mon coup de cœur, un film un peu moins connu que les autres actuellement alors qu’il fut le huitième plus grand succès de l’histoire des films muets. La fin du film est assez typique du film avec Charlot. A noter que le tournage du film a été un calvaire pour le réalisateur (incendie, mort de sa mère, divorce, intervention des services financiers du gouvernement pour des taxes impayées…)

 

 

 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:13

Gold Rush (1942) : 13,5/20. Titre français : La ruée vers l’or.

 

J’ai eu accès à la version parlante de "La ruée vers l’or", celle de 1942, sonorisée par Chaplin lui-même. Il existe une version muette datant de 1925, mais je fais avec ce que j’ai sous la main.

 

L’histoire des chercheurs d’or du Canada à la fin du XIXème siècle, Charlot et Big Jim, qui se retrouvent     dans une cabane isolée, privés de tout. La danse des petits pains est mythique. J’ai cependant été un peu gêné par le son.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:12

Cédric Kaplisch Paris : 15 Bonne surprise, de Cédric Kaplisch avec Romain Duris, Fabrice Luchini, Albert Dupontel, Juliette Binoche, Mélanie Laurent... beau casting, histoire simple, véritable carte postale de Paris. 

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:11

Cédric Klapisch, Les poupées russes (2005) : 13,5.

La suite de l’Auberge Espagnole, avec un peu moins de saveur.

 

Xavier a 30 ans. Il a laissé provisoirement de côté son rêve d'enfance, devenir écrivain, et son travail consiste à aider des « célébrités » à écrire leur autobiographie. Il a néanmoins quelques problèmes avec sa banquière mais est engagé pour écrire le scénario d'une mini-série à l'eau-de-rose pour une grande chaîne nationale. Il a également des réticences à se fixer avec une fille et enchaîne les aventures amoureuses avec inconséquence tout en continuant à fréquenter sa meilleure amie Isabelle et son ex Martine. Xavier saisit l'opportunité de continuer son travail à Londres où il va collaborer avec Wendy, puis l'accompagne à Saint-Pétersbourg pour assister au mariage de son frère, William. Ces nouveaux voyages lui permettront de concilier travail, amour et écriture.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:11

Cédric Klapisch, Le péril jeune (1995) : 16.

 

Ce film retrace les retrouvailles après dix ans de quatre amis qui furent lycéens de terminale au printemps 1976. Ils se retrouvent à l'hôpital pour l'accouchement de la femme de celui qui fut le cinquième de la bande et qui est mort quelques semaines plus tôt d'une overdose. C'est l'occasion pour eux de se remémorer les souvenirs des années de lycée, sur fond de révolte étudiante, de drogues, d'amour et de rock, des domaines pas forcément au programme...

 

Le Péril jeune est à l'origine un téléfilm issu d'une collection commanditée par la chaîne Arte, intitulée Les Années Lycée. Le succès du long-métrage lui permettra de sortir au cinéma en 1995. 645 639 entrées seront comptabilisées.

 

 

Premier grand rôle pour Romain Duris.

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1 mai 2004 6 01 /05 /mai /2004 14:10

Cédric Klapisch, L’auberge espagnole (2002) : 18.

Ce film est le résumé de ma vie Erasmus. Une bible. Avant c’était déjà génial. Après avoir vécu cette expérience, cela à une autre saveur, tout aussi merveilleuse, avec plein de souvenir. Notamment du visionnage tous ensemble.

Xavier (Romain Duris), étudiant en sciences économiques, rêve d'être écrivain. Mais son destin semble être d'intégrer le ministère des Finances grâce à un ami de son père, qui lui conseille d'aller vivre une année en Espagne, afin d'acquérir une spécificité qui favorisera son embauche. Il décide donc de faire une année d'études à Barcelone, en Catalogne, grâce au programme Erasmus.

Loin de sa copine Martine (Audrey Tautou), il se retrouve à partager en colocation un appartement avec d'autres étudiants étrangers : la Belge Isabelle (Cécile de France), l'Anglaise Wendy (Kelly Reilly), l'Italien Alessandro, l'Espagnole Soledad, le Danois Lars et l'Allemand Tobias. Entre dépaysement, choc culturel, difficulté de la langue (les cours sont en catalan alors que les jeunes Français apprennent le castillan à l'école), il commence à s'intégrer en profitant de sa vie d'étudiant.

A voir et à faire !

 

 

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